Afin de mieux représenter la diversité des genres des personnes qui nous lisent et dont nous parlons, nous avons choisi d’adopter des pratiques d’écriture inclusive dans nos communications écrites. Notre approche vise à rendre nos textes plus accessibles tout en respectant la pluralité des identités de genre. Voici les principaux procédés que vous retrouverez dans nos écrits :
Formulations neutres
Autant que possible, nous privilégions des formulations neutres, c’est-à-dire exemptes de marqueurs de genre. Par exemple, nous utilisons « personnes aînées » plutôt que « aînés ». Ces choix permettent non seulement d’inclure un plus grand nombre de personnes, mais aussi de garantir une meilleure accessibilité.
Doublets courts
Lorsque l’usage d’une formulation neutre n’est pas possible, nous optons pour des doublets courts (ex. : « allié.e.s ») plutôt que des doublets longs (ex. : « alliés et alliées »). Cette approche allège le texte tout en maintenant une représentation inclusive qui ne repose pas sur une vision binaire du genre.
Utilisation de néologismes
Dans certains cas, nous employons des termes qui ne figurent pas encore dans les dictionnaires usuels. Par exemple, lorsqu'une personne non binaire préfère un terme spécifique pour se définir (ex. : « coordonnataire »), nous respectons ce choix lexical. Toutefois, afin d'assurer une compréhension optimale, nous limitons l’usage des néologismes aux situations où ils sont nécessaires.
L’écriture inclusive est un outil essentiel pour refléter notre engagement en faveur de l’inclusion et du respect de toutes les identités. Pour en savoir plus ou approfondir vos connaissances sur le sujet, nous vous invitons à suivre notre formation sur l’écriture inclusive.